Chloé Griot
- Savoir-faire
- Bilan de compétences
- Écriture journalistique et littéraire
- Expérience internationale
- Études
Ma carrière d'analyste scientifique m'a conduit à développer de solides compétences en matière rédactionnelle et de conception de documents complexes, à la fois en français et en anglais. J'ai également travaillé en italien. Cela s'est traduit par la rédaction d'articles scientifiques et de rapports d'études ainsi que par la préparation de documents de travail collaboratifs, de questionnaires d'analyse de besoins, de notes de synthèse ou encore d'actes de conférence internationale et de plaquettes de présentation d'un projet européen. J'ai également été responsable de la conception de l'architecture d'un site web et de la rédaction de son contenu. Enfin, j'ai effectué de nombreuses présentations orales en conférences internationales et participé régulièrement à des missions de travail à l'étranger.
En 2013, un bilan de compétences m'indique les conclusions suivantes. L'écriture, la communication, la conception de projet, la recherche, le conseil, la formation sont les principales pistes qui émergent. En matière de savoir-être, les éléments suivants se dégagent : la créativité, la curiosité, l'innovation, le sens du contact et de l'écoute, le sens de l'observation et du détail, le sens de l'organisation. Le projet d'Azalée a émergé en 2014.
L'écriture est une activité qui me plaît énormément. L'écriture, c'est aussi le fil conducteur de ma carrière, mon outil de travail, ma compétence principale. Depuis Septembre 2014, je suis correspondante locale pour la presse régionale. Je participe régulièrement à des concours de nouvelles et j'ai par ailleurs des projets personnels d'écriture.
J'ai eu l'opportunité de partir travailler à l'étranger en 2006. Au Québec pendant deux ans et demi, j'ai été rédactrice scientifique sur la thématique des impacts du changement climatique en Amérique du Nord pour l'Institut National de Santé Publique. En Italie à partir de fin 2008, j'ai été analyste scientifique pour la Commission Européenne pendant trois ans. Je suis revenue en France à la fin de l'année 2012.
Après un bac C en 1992 et une maîtrise en sciences environnementales en 1996 à l'Université Joseph Fourier de Grenoble, j'ai choisi de bifurquer en géographie de la santé en DEA à Montpellier. J'ai alors étudié les relations entre la pollution atmosphérique et les maladies respiratoires en milieu urbain. Puis j'ai obtenu une bourse de doctorat du Ministère de la Recherche qui m'a permis d'effectuer une thèse sur la prévention des risques majeurs et l'analyse de la vulnérabilité du territoire grâce à un système d'information géographique (GIS). J'ai reçu les félicitations du jury à l'issue de la soutenance publique de ma thèse en 2003.